Le Belge Dominique Alderweireld est accusé de Nike TN
Requin proxénétisme aggravé dans le procès du Carlton. Portrait d'un opportuniste.
Personnalité haute en couleur, Dominique Alderweireld est né le 5 février 1949, en Belgique. Il se présente comme «administrateur de sociétés», mais les sociétés dont il s'agit ont un objet bien particulier. En réalité, M. Alderweireld est plus connu dans son milieu professionnel sous le sobriquet de «Dodo la Saumure» (qu'il doit à une expérience passée dans le conditionnement de poissons) et il gère, ou a géré, outre-Quiévrain, des dizaines de «maisons de débauche», comme on les appelle là-bas. Profitant du flou de la législation belge en matière de proxénétisme, «Dodo» et ses pairs exercent une activité aussi lucrative que moralement contestable. M. Alderweireld, treize fois condamné dont deux fois pour proxénétisme, à Nanterre et à Valenciennes, est un ami de longue date de René Kojfer, lequel se charge des relations publiques d'hôtels lillois, à l'époque des faits jugés cette semaine lors du procès de l'«affaire du Carlton de Lille». Selon l'accusation, Nike Tn
Requn Pas Cher il fournissait son comparse en prostituées, au gré de ses besoins, s'exposant, de ce fait, aux foudres de la loi française.
Les écoutes téléphoniques font ressortir, chez ces deux personnages, une mentalité de maquignon dès lors qu'ils évoquent les femmes. Ainsi, en mars 2011, René Kojfer contacte-t-il son supposé fournisseur de prostituées. Il lui demande de lui préparer «un petit dossier» (appellation généralement employée pour parler des filles exploitées), afin qu'il puisse «lui manger la ch…». Ou encore: «Vendredi, j'ai vu ta femme, elle m'a fait essayer une petite qui était pas mal». De fait, le Lillois se présentait volontiers comme l'«essayeur» du Belge, se targuant de satisfaire ses désirs sexuels gratuitement, Nike
TN Pas Cher quand l'envie lui en prenait, auprès des.
dimanche 8 février 2015
Barrage de Sivens : première procédure d'expulsion des «zadistes»
Après un appel à la mobilisation, les « zadistes » Nike Requin occupant le site du barrage de Sivens arrivent en nombre pour résister à la première procédure d'expulsion. Ils comparaissent lundi et mardi au tribunal d'Albi.
Les «zadistes» du site du barrage de Sivens (Tarn) n'ont jamais été aussi près de la porte de sortie de la ZAD («zone à défendre») qu'ils occupent illégalement, au moins juridiquement. Alors qu'«aucun arrêté préfectoral d'expulsion» n'a été pris par les autorités, confirme au Figaro le sous-préfet de Castres (Tarn) Jean-Yves Chiaro, ces opposants au barrage - et aux solutions alternatives proposées par les experts mandatés par Ségolène Royal depuis l'abandon du projet hydraulique initial - font l'objet d'une procédure d'urgence qui les conduit dès lundi après-midi et mardi matin devant les tribunaux de la région.
Un huissier de justice est venu samedi sur la ZAD, en forêt de Sivens, pour leur remettre leurs assignations à comparaître au TGI d'Albi, à 25 kilomètres de là. Mercredi dernier, il s'était déjà rendu sur place pour dresser le constat de toutes les parcelles occupées, TN Requin mettant la puce à l'oreille aux écolo-activistes qui se tiennent prêts à entrer dans la lutte. Cette procédure serait conduite par le conseil général du Tarn, grand promoteur du projet, et la Compagnie générale des coteaux de Gascogne (CACG), le maître d'œuvre du barrage, mais aussi quelques propriétaires particuliers réunis en collectif.
La zone à expulser concerne la «Métairie neuve»
Cette procédure d'expulsion intervient alors que Ségolène Royal a annoncé, mercredi dernier, que les zadistes seraient délogés dès lors que les élus locaux auront fait le choix du projet à mettre en œuvre, Nike TN selon les deux propositions recommandées par les experts.
Les «zadistes» du site du barrage de Sivens (Tarn) n'ont jamais été aussi près de la porte de sortie de la ZAD («zone à défendre») qu'ils occupent illégalement, au moins juridiquement. Alors qu'«aucun arrêté préfectoral d'expulsion» n'a été pris par les autorités, confirme au Figaro le sous-préfet de Castres (Tarn) Jean-Yves Chiaro, ces opposants au barrage - et aux solutions alternatives proposées par les experts mandatés par Ségolène Royal depuis l'abandon du projet hydraulique initial - font l'objet d'une procédure d'urgence qui les conduit dès lundi après-midi et mardi matin devant les tribunaux de la région.
Un huissier de justice est venu samedi sur la ZAD, en forêt de Sivens, pour leur remettre leurs assignations à comparaître au TGI d'Albi, à 25 kilomètres de là. Mercredi dernier, il s'était déjà rendu sur place pour dresser le constat de toutes les parcelles occupées, TN Requin mettant la puce à l'oreille aux écolo-activistes qui se tiennent prêts à entrer dans la lutte. Cette procédure serait conduite par le conseil général du Tarn, grand promoteur du projet, et la Compagnie générale des coteaux de Gascogne (CACG), le maître d'œuvre du barrage, mais aussi quelques propriétaires particuliers réunis en collectif.
La zone à expulser concerne la «Métairie neuve»
Cette procédure d'expulsion intervient alors que Ségolène Royal a annoncé, mercredi dernier, que les zadistes seraient délogés dès lors que les élus locaux auront fait le choix du projet à mettre en œuvre, Nike TN selon les deux propositions recommandées par les experts.
Un libraire jugé à Lille pour avoir exposé un drapeau de Daech
L'homme de 58 ans est également accusé Nike Tn
Pas Cher d'avoir tenu des propos relevant de l'apologie du terrorisme comme «Je suis Ben Laden» ou «les barbus vous vont vaincre».
Le tribunal correctionnel de Lille, déjà au coeur de l'actualité pour l'ouverture du procès du Carlton, devra également statuer sur le sort du gérant d'une librairie islamique lilloise, Chaabi M'Barek, 59 ans. L'homme a été arrêté le 16 janvier dernier, après qu'un automobiliste remarque le drapeau noir de Daech dans la devanture de la librairie orientale El Azhar et alerte alors les policiers.
A l'arrivée des fonctionnaires, le libraire explique que «personne ne peut (le) contrôler». Quand les policiers lui demandent de décliner son identité, il répond «je suis Ben Laden», puis «les barbus vont vous vaincre, inch'Allah». Les policiers ont ensuite constaté la présence de nombreux drapeaux noirs de l'organisation État islamique, Tn Nike certains au plafond de la boutique.
«Vous découvrirez peut-être une kalachnikov»
Lors de l'interpellation, le prévenu, né au Maroc et qui a huit enfants, a conseillé aux policiers d'aller inspecter son garage. «Vous découvrirez peut-être une kalachnikov», leur a-t-il dit. A l'issue de sa garde à vue, le prévenu a demandé lors de sa comparution immédiate que son jugement soit renvoyé. Interrogé sur les actes terroristes qui ont secoué la France, le libraire, cheveux rasés et longue barbe rousse, a dit «condamner tous les gens qui assassinent». «Je pense qu'il y a une confusion entre les drapeaux religieux et idéologiques. Ce monsieur tient cette librairie depuis 19 ans, il n'a jamais dû rendre compte de son activité devant les tribunaux ou les services de police. Il conteste tout acte d'apologie du terrorisme», Nike Tn a déclaré son avocat Charles Cogniot. Son fils, présent lors de la 1ère audience, a affirmé.
Le tribunal correctionnel de Lille, déjà au coeur de l'actualité pour l'ouverture du procès du Carlton, devra également statuer sur le sort du gérant d'une librairie islamique lilloise, Chaabi M'Barek, 59 ans. L'homme a été arrêté le 16 janvier dernier, après qu'un automobiliste remarque le drapeau noir de Daech dans la devanture de la librairie orientale El Azhar et alerte alors les policiers.
A l'arrivée des fonctionnaires, le libraire explique que «personne ne peut (le) contrôler». Quand les policiers lui demandent de décliner son identité, il répond «je suis Ben Laden», puis «les barbus vont vous vaincre, inch'Allah». Les policiers ont ensuite constaté la présence de nombreux drapeaux noirs de l'organisation État islamique, Tn Nike certains au plafond de la boutique.
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Lors de l'interpellation, le prévenu, né au Maroc et qui a huit enfants, a conseillé aux policiers d'aller inspecter son garage. «Vous découvrirez peut-être une kalachnikov», leur a-t-il dit. A l'issue de sa garde à vue, le prévenu a demandé lors de sa comparution immédiate que son jugement soit renvoyé. Interrogé sur les actes terroristes qui ont secoué la France, le libraire, cheveux rasés et longue barbe rousse, a dit «condamner tous les gens qui assassinent». «Je pense qu'il y a une confusion entre les drapeaux religieux et idéologiques. Ce monsieur tient cette librairie depuis 19 ans, il n'a jamais dû rendre compte de son activité devant les tribunaux ou les services de police. Il conteste tout acte d'apologie du terrorisme», Nike Tn a déclaré son avocat Charles Cogniot. Son fils, présent lors de la 1ère audience, a affirmé.
Procès du Carlton : DSK devant les juges
Du sexe, du pouvoir et de l'argent. Cheap
Jordan Shoes Tous les ingrédients sont réunis pour faire du procès du Carlton, qui s’ouvre ce lundi à 14h devant le tribunal correctionnel de Lille, l'un des plus attendus de l'année. Ex-homme politique de premier plan, Dominique Strauss-Kahn se retrouve sur le banc des prévenus pour répondre de proxénétisme aggravé, presque quatre ans après le scandale du Sofitel qui lui a coûté sa carrière politique.
Accusé d'avoir été au cœur d'un réseau de prostitution mis en place par ses amis du Nord, l'ancien favori des sondages de la présidentielle 2012 comparait aux côtés de treize autres personnes : hôtelier, commissaire de police, avocat, entrepreneurs, et "Dodo la Saumure", gérant de plusieurs "maisons de débauche" en Belgique.
A l'issue du procès, qui doit durer trois semaines, le jugement devrait être mis en délibéré. L'ancienne figure du PS encourt jusqu'à 10 ans de prison et 1,5 million d'euros d'amende.
Retour sur l’affaire
Tout commence en février 2011 lorsqu’une enquête préliminaire est ouverte par la police judiciaire de Lille, sur des renseignements anonymes. Les enquêteurs se penchent alors sur les fréquentations de l'hôtel Carlton et de l'hôtel des Tours.
L'hôtel Carlton de Lille
L'hôtel Carlton de Lille
Quelques mois plus tard, en octobre 2011, le propriétaire du Carlton, Hervé Franchois, le directeur-manager de l'hôtel, Francis Henrion, et son directeur des relations publiques, René Kojfer, sont mis en examen et écroués pour "proxénétisme aggravé en bande organisée".
Le nom de DSK apparaît
La surveillance mise en place, Nike Free notamment sur le téléphone portable de René Kojfer, fait sortir peu à peu des noms, dont celui de Dominique Strauss-Kahn, lâché fortuitement au détour d'une conversation.
Les enquêteurs remontent un réseau de notables qu'ils soupçonnent de profiter des filles mises à disposition par le chargé des relations publiques, dont David Roquet, entrepreneur en BTP et Fabrice Paszkowski, un entrepreneur spécialisé dans le matériel médical. Ces deux derniers font partie d'un cercle amical, libertin, parfois franc-maçon, auquel viennent s'ajouter Jean-Christophe Lagarde, alors directeur de la sûreté départementale du Nord, et Dominique Strauss-Kahn.
Selon l'accusation, les quatre hommes se retrouvent à l'occasion de plusieurs soirées, dans le nord mais aussi à Paris ou encore à Washington, où trois voyages sont organisés alors que DSK est encore à la tête du FMI.
Un premier non-lieu pour DSK
En mars 2012, après deux jours de garde à vue, DSK est mis en examen pour "complicité de proxénétisme aggravé en bande organisée" et "recel d'abus de biens sociaux". Il affirmera toujours ignorer que les femmes présentes aux parties fines étaient des prostituées rémunérées.
Retournement de situation en juin 2013 : le parquet de Lille requiert un non-lieu à l’encontre de l’homme politique, estimant qu'il ne pouvait être déduit "avec certitude" qu'il savait que les femmes rencontrées étaient rémunérées ni qu'il était à l'origine des soirées.
Accusé d'avoir été au cœur d'un réseau de prostitution mis en place par ses amis du Nord, l'ancien favori des sondages de la présidentielle 2012 comparait aux côtés de treize autres personnes : hôtelier, commissaire de police, avocat, entrepreneurs, et "Dodo la Saumure", gérant de plusieurs "maisons de débauche" en Belgique.
A l'issue du procès, qui doit durer trois semaines, le jugement devrait être mis en délibéré. L'ancienne figure du PS encourt jusqu'à 10 ans de prison et 1,5 million d'euros d'amende.
Retour sur l’affaire
Tout commence en février 2011 lorsqu’une enquête préliminaire est ouverte par la police judiciaire de Lille, sur des renseignements anonymes. Les enquêteurs se penchent alors sur les fréquentations de l'hôtel Carlton et de l'hôtel des Tours.
L'hôtel Carlton de Lille
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Quelques mois plus tard, en octobre 2011, le propriétaire du Carlton, Hervé Franchois, le directeur-manager de l'hôtel, Francis Henrion, et son directeur des relations publiques, René Kojfer, sont mis en examen et écroués pour "proxénétisme aggravé en bande organisée".
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Selon l'accusation, les quatre hommes se retrouvent à l'occasion de plusieurs soirées, dans le nord mais aussi à Paris ou encore à Washington, où trois voyages sont organisés alors que DSK est encore à la tête du FMI.
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En mars 2012, après deux jours de garde à vue, DSK est mis en examen pour "complicité de proxénétisme aggravé en bande organisée" et "recel d'abus de biens sociaux". Il affirmera toujours ignorer que les femmes présentes aux parties fines étaient des prostituées rémunérées.
Retournement de situation en juin 2013 : le parquet de Lille requiert un non-lieu à l’encontre de l’homme politique, estimant qu'il ne pouvait être déduit "avec certitude" qu'il savait que les femmes rencontrées étaient rémunérées ni qu'il était à l'origine des soirées.
Un nouvel épisode neigeux traverse le Sud de la France
Cinq départements méridionaux ont été placés en Bottes
timberland alerte orange neige mardi soir par Météo Consult.
La neige a commencé à tomber mardi matin à Toulouse et dans le sud-ouest de la France mais la situation s'est depuis améliorée, la perturbation se décalant dans la journée vers la Provence et s'éloignant vers l'Italie. Cinq départements du sud du pays étaient en vigilance orange mardi soir en raison de la neige, selon Météo Consult*. Le tout sur une zone couvrant les Bouches-du-Rhône, la Drôme, le Gard, le Var et le Vaucluse. En outre, quatre départements sont placés en risque important neige, toujours dans le sud-Est: les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche et l'Hérault.
La situation s'est nettement améliorée dans le sud-ouest depuis la mi-journée. Il neige certes faiblement, mais c'est maintenant le risque de formation de verglas qu'il convient de surveiller, Nike TN explique Météo Consult. La perturbation dans sa partie la plus active se situe maintenant sur le Gard et l'ouest des Bouches-du-Rhône. La neige tient localement en plaine quand les températures sont proches de 0 degré.
Voici les prévisions établies par l'organisme:
Mardi après-midi, les chutes de neige se sont bloquées sur les régions de la basse vallée du Rhône et ont engendré de fortes quantités avec des températures en baisse. Mardi soir devrait être la période critique en basse vallée du Rhône. L'intensité des précipitations, très souvent neigeuses jusque sur le littoral du Gard et de l'ouest des Bouches-du-Rhône, sera forte. Les cumuls de neige pourront être importants dès les premiers reliefs.
Au cours de la nuit, la Nike Ninja neige commence à faiblir sur les Bouches-du-Rhône alors qu'elle se maintient de l'est du Vaucluse à la Drôme
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La situation s'est nettement améliorée dans le sud-ouest depuis la mi-journée. Il neige certes faiblement, mais c'est maintenant le risque de formation de verglas qu'il convient de surveiller, Nike TN explique Météo Consult. La perturbation dans sa partie la plus active se situe maintenant sur le Gard et l'ouest des Bouches-du-Rhône. La neige tient localement en plaine quand les températures sont proches de 0 degré.
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